Chez Gnitekram, nous avons fait de la sensibilisation à la transition énergétique notre priorité. Nous sommes très attentifs aux scénarios annoncés par l’ADEME, qui nous conduiraient à la neutralité carbone en 2050. L’un d’eux met en avant une neutralité carbone par un développement de la technologie au service de la durabilité. On s’est donc posé la question de, comment évoluerait un leader de la tech, Google, en 2050.
En 2024, les impacts environnementaux de Google sont principalement liés à ses opérations informatiques massives, notamment ses centres de données, ses réseaux de télécommunications et son infrastructure cloud. D’après Alex Wissner-Gross, chercheur à Harvard, une requête Google émet 7 grammes de CO₂. 10 recherches sur Google émettent donc plus qu’un kilomètre fait à scooter (62 g). Or, pour rappel en 2022, 8,5 milliards de requêtes étaient réalisées par jour. Google a donc pleinement sa place dans les discussions de neutralité carbone.
Dès les années 2000, l’entreprise à d’abord miser sur le système de compensation carbone en investissant massivement dans un parc éolien et solaire qui lui a permis de compenser l’intégralité de ses émissions en 2007. En clair, Google pollue, mais Google répare ailleurs. Récemment, l’entreprise a entamé un changement de stratégie, passant de la compensation à la connexion pour s’alimenter directement en énergie verte pour ne produire plus aucune émission de CO2 en 2030. En 2050, Google a ainsi atteint son objectif ambitieux de fonctionner à 100% grâce à des énergies renouvelables. Tous les centres de données, bureaux et installations de Google sont alimentés directement par des sources d’énergie propres telles que l’énergie solaire, éolienne, l’hydroélectrique ou hydrogène. Cette transition vers les énergies renouvelables a permis à Google de supprimer intégralement ses émissions de carbone et de jouer un rôle majeur dans la lutte contre le changement climatique.
Réinventer le smartphone
En 2040, Google a lancé un smartphone révolutionnaire appelé « EcoPixel ». Ce téléphone intelligent est conçu pour ne plus avoir d’impact sur l’environnement. Le tout, en offrant des performances exceptionnelles et une expérience utilisateur de qualité.
Dès la fabrication, l’EcoPixel restreint drastiquement l’émission de CO2 par l’utilisation de matériaux durables, recyclables et recyclés, pour réduire l’impact sur l’environnement. Par exemple, la coque est réalisée en fibres végétales et la batterie est fabriquée sans l’extraction de ressources non-renouvelables. La batterie, justement, est conçue pour durer longtemps tout en offrant des performances optimales. Selon Google, la batterie à une durée de vie d’environ 10 ans ce qui permet de garder son smartphone. Difficile d’imaginer garder son smartphone 10 ans ? Grâce à la modularité de L’EcoPixel, la réparation devient plus simple et ainsi le remplacement de composant. Le smartphone est conçu comme une base à laquelle on rajoute des modules (appareil photo, écran, carte mère) pour le réparer ou le mettre à jour aux dernières technologies disponibles. Les utilisateurs peuvent installer une batterie de plus grande capacité, un appareil photo de meilleure qualité ou un écran plus grand en fonction de leurs besoins. Cette personnalisation permet aux consommateurs de prolonger la durée de vie de leur téléphone tout en adaptant ses fonctionnalités à leurs besoins changeants. Par exemple, en 2050 Google propose un module d’appareil photo révolutionnaire compatible avec la première génération d’EcoPixel !
Google encourage aussi la création de communautés d’utilisateurs et de réparateurs qui partagent leurs connaissances pour prolonger la durée de vie des smartphones EcoPixel. Les forums en ligne, permettent à chaque utilisateur de pouvoir réparer chez lui son EcoPixel, à moindres coûts.
L’assistant virtuel qui révolutionne vos usages en 2050
Depuis 2050, Google propose un assistant virtuel qui est une véritable extension de nous-même. Ce nouvel assistant est doté d’une intelligence artificielle extrêmement sophistiquée, capable de comprendre et d’interpréter nos besoins et nos désirs de manière plus intuitive que jamais. Grâce à des avancées majeures dans le traitement du langage naturel et de la compréhension contextuelle, cet assistant peut anticiper nos demandes, nous fournir des informations pertinentes et même agir en notre nom pour effectuer des tâches complexes. C’est d’autant de recherches et de requêtes anticipées. L’assistant virtuel est également équipé d’un algorithme sophistiqué qui analyse les habitudes de consommation et les activités des utilisateurs pour estimer leur empreinte carbone. Il prend en compte des facteurs tels que les déplacements, la consommation d’électricité ou les achats en ligne pour fournir une évaluation précise des émissions de CO2 associées au mode de vie de chaque utilisateur. De cette évaluation, l’assistant virtuel de Google propose des recommandations personnalisées pour réduire son empreinte. Il suggère des changements simples mais efficaces dans les comportements quotidiens, comme par exemple la proposition d’alternatives simples et accessibles au plus grand nombre.
Voyez la vie en vert avec la réalité augmentée
Google a également fait des progrès spectaculaires dans le domaine des interfaces immersives. En 2050, la réalité augmentée et la réalité virtuelle sont devenues des composantes essentielles de notre interaction avec le monde numérique. Avec des lunettes AR ultramodernes et des environnements VR hyper-réalistes, les utilisateurs de Google peuvent explorer des mondes virtuels, interagir avec des hologrammes et manipuler des données/informations de manière intuitive et immersive. Les interfaces de Google permettent aux utilisateurs d’explorer de nouveaux mondes et de vivre des expériences inoubliables, le tout à partir de leur propre salon. Une nouvelle application de la technologie au service de la neutralité carbone en proposant des alternatives aux déplacements individuels. Imaginez passer un entretien d’embauche en hologramme depuis chez vous, ou vivre un moment unique en famille à des milliers de kilomètres de distante. On estime que grâce à la généralisation de cette technologie à l’ensemble de la population, le nombre de vols dédiés aux loisirs ont diminué de 70%. Ce dont se félicite Jean-Marc Jancovici, qui en 2020 déjà, recommandait 4 vols maximum par personne. La technologie d’immersion développée et démocratisée par Google a permis cela.
S’engager c’est bien, s’engager ensemble c’est encore mieux
En tant qu’acteur majeur de l’industrie technologique, Google s’est engagé à utiliser ses ressources et son expertise pour relever les grands enjeux de la transition écologique. En 2050, l’entreprise travaille en partenariat avec des gouvernements, des ONG et d’autres acteurs de la société civile pour développer des solutions technologiques innovantes pour lutter contre le changement climatique, prévenir les pandémies, garantir la sécurité alimentaire et bien plus encore. Des projets ambitieux tels que l’intelligence artificielle pour la santé ou les villes intelligentes sont au cœur de la mission de Google. Ainsi, Google investit massivement dans la recherche et le développement de technologies vertes, en travaillant en étroite collaboration avec des universités, des instituts de recherche et des centres d’innovation gouvernementaux. Ces investissements visent à stimuler l’innovation pour en faire profiter au plus grand nombre en supprimant la barrière publique-privé.
Depuis 2050, Google a également intensifié sa collaboration avec des ONG du monde entier pour développer des technologies vertes innovantes et faire de la durabilité, une réalité. Google partage ses vastes ressources technologiques, y compris son expertise en matière d’intelligence artificielle, de cloud computing et de données, avec les ONG partenaires. De leur côté, les ONG fournissent des informations précieuses sur les défis environnementaux auxquels elles sont confrontées sur le terrain, ainsi que sur les besoins des communautés locales. Le programme Google EarthGuard utilise des satellites équipés de capteurs sophistiqués pour surveiller divers paramètres environnementaux, tels que la qualité de l’air, la déforestation, la fonte des glaces, la pollution des océans et les changements climatiques. Ces données sont ensuite analysées en temps réel à l’aide de l’intelligence artificielle pour détecter les tendances et les anomalies. En détectant les changements environnementaux dès qu’ils se produisent, EarthGuard peut fournir des alertes précoces aux autorités et aux organisations. Par exemple, en cas de déforestation illégale ou de déversement de substances toxiques dans les océans, EarthGuard envoie des alertes en temps réel pour déclencher une intervention immédiate. Cette technologie n’est pas obscure puisqu’elle est accessible à tous sans contrainte. Les utilisateurs peuvent accéder à des cartes interactives, des rapports d’analyse et des alertes en temps réel via une application mobile. Ce système responsabilise chacun pour faire de la durabilité, l’affaire de tous.
En résumé, Google en 2050 serait bien plus qu’une entreprise technologique : ce serait un leader de la transition vers un avenir plus durable pour la planète. Grâce à son utilisation des technologies en faveur de l’environnement, Google deviendrait un acteur majeur et nécessaire d’un monde durable. C’est des entreprises les plus engageantes et puissantes, que nous devons attendre les plus grands investissements. Si Google ne le fait pas, qui le fera ?
Voir aussi : https://gnitekram.fr/soja-alternative-durable/
One thought on “Google : leader de la technologie verte en 2050”